Ce qui est piteux et catastrophique avec les artistes qui participent à désosser le denier public en compagnie du cnrd, c’est leur niveau d’inculture exécrable qui se traduit par la vacuité de leur publication et par la pauvreté de leurs idées chantées.

La musique devient un instrument de propagande lorsque son auteur en manque d’inventivité et de fertilité de l’esprit, emprunte la voix de la simplicité pour se hisser ou pour s’agrafer au sommet d’une apothéose évanescente, par des éloges qu’il lance aux politiques, aux opérateurs économiques, et aux présidents.

Il oublie que tout ce qu’il chante et écrit dans le but de meubler son ventre, entre dans un ordre d’idée conçu pour faire l’apologie de la terreur et du crime organisé contre son propre peuple.
Mais dans mon pays, le malheur de ce métier est que chacun peut le pratiquer sans avoir un minimum de culture et de vertu.

L’élève de la 10 eme année.
EK10.