Dans le viseur de trente-deux (32) députés Européens qui ont élaboré une liste de vingt-cinq (25) personnalités pour leur participation aux violences enregistrées en Guinée au lendemain de l’élection présidentielle du 18 octobre 2020 et du changement constitutionnel.
Fier de prendre part à ce changement de la constitution pour la quatrième République, l’ancien ministre des sports s’est dit personnellement surpris de l’attitude de certains guinéens qui ternissent l’image de notre pays à l’international,  »Est-ce que vous êtes sûrs que ce sont les députés qui ont élaboré cette liste ? ».
Pour l’actuel, deuxième vice-gouverneur de la banque centrale, il juge incompréhensible d’accuser formellement des personnalités étatiques du sur la base des informations infondées.
« D’abord je ne sais pas qui a établi cette liste. Les députés européens ne sont pas en Guinée. Est-ce que vous êtes sûrs que ce sont les députés qui ont élaboré cette liste ? On peut porter une liste qu’on vous remet, qui l’a faite ? C’est là ma question. Pourquoi, on établit une liste de 25 personnes ? Comment dans un pays, on peut accepter que sur une liste, tu as le nom du premier ministre, du président de l’Assemblée, de la Cour Constitutionnelle … aujourd’hui qui sont considérés comme les représentants de nos institutions, et que vous me dites que des ONGs ou bien des députés ou la représentation de l’Union Européenne puissent oser mettre leurs noms, sur une liste pour des faits non avérés », a confié, chez nos confrères de FIM FM.
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