Samedi, le général Abdourahamane Tchiani a déclaré la tenue du dialogue national inclusif. Il a demandé aux forces vives de la nation de proposer des solutions pour une période de transition de trois ans au maximum. Les sanctions illégales de la CEDEAO ont également été dénoncées par le nouvel homme fort du Niger, qui a également mis en garde contre une intervention militaire qui ne saurait être « une balade de santé ».

Il y a quelques jours, le général Tchiani a annoncé le plan de transition des nouvelles autorités nigériennes, qui a été rejeté par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Samedi, le général Abdourahamane Tchiani a déclaré la tenue du dialogue national inclusif. Il a demandé aux forces vives de la nation de proposer des solutions pour une période de transition de trois ans au maximum. Les sanctions illégales de la CEDEAO ont également été dénoncées par le nouvel homme fort du Niger, qui a également mis en garde contre une intervention militaire qui ne saurait être « une balade de santé ».

La CEDEAO est monté au créneau après ces déclarations. L’organisation ouest-africaine a rejeté l’offre d’une transition de trois ans au Niger, selon Abdel-Fatau Musa, son commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité. « La CEDEAO n’accepte plus aucune transition prolongée dans la région. Ils doivent juste se préparer à passer la main dans les plus brefs délais »

« L’aspect militaire est très présent. Plus tôt, ils rendront le pouvoir aux civils et se concentreront sur leur responsabilité première qui est de défendre l’intégrité territoriale du Niger, mieux ce sera pour eux » conclu Abdel-Fatau Musa.