Ensuite, l’organisation affirme : » Au moins 16 personnes tuées par balle en octobre et un homme de 62 ans torturé ».

Également, Amnesty international déclare que :  » Depuis l’élection présidentielle du 18 octobre en Guinée, les forces de l’ordre ont fait un usage excessif de la force tuant par balle plus d’une dizaine de personnes et arrêtant des centaines d’autres lors de manifestations ou d’opérations de police dans des quartiers perçus comme favorables à l’opposition.
Alors que le président Alpha Condé, réélu pour un troisième mandat, sera investi ce 15 décembre, l’organisation met en lumière, sur la base de témoignages recueillis auprès de familles de victimes, d’analyses et d’authentifications de photos, et d’un décompte fait auprès de structures médicales, le nouveau cran franchi dans la répression des manifestations et des voix critiques entre le 19 octobre et le début de ce mois ».

Ces dénonciations interviennent alors que le Président Alpha Condé sera investi à ce jour. Est-ce une manière pour rappeler que la Guinée se porte mal?