C’est un homme désemparé qui s’est confié à la presse. Depuis plusieurs années maintenant, le PDG de SIMACO ENGINEERING, qui évolue dans la construction, le transport, l’assainissement Mining et corporation, réclame sans succès un montant de plus de 4 milliards de francs guinéens.
Les faits remontent en 2013, lorsque les deux entreprises ont signé , un contrat de sous-traitance, portant la mise à disposition d’engins et la fourniture clé , en main des services associés, suite à la signature en 2012, entre SATAREM et la Guinée, représentée, par le ministère de l’administration du territoire, et le ministère de l’économie et des finances, d’une convention, de concession de collecte et d’évaluation, des déchets ménagers et autres, des communes de Conakry, Coyah et Dubreka.
Comme convenu dans le contrat, l’entreprise gérée par le sieur Yéro Sidibé a respecté sa part de contrat dit l’entrepreneur qui accuse la société SATAREM de ne jamais respecté le mode et le calendrier de paiement des services rendus. Et pour obtenir gain de cause, à la date du 02 janvier, monsieur Yéro Sidibé patron de l’entreprise SIMACO ENGINEERING de droit guinéen a adressé une demande d’audience au chef de l’Etat Alpha Condé pour trouver une solution idoine au contentieux qui lie sa société à SATAREM EGIS, une société de droit suisse. Mais malheureusement, cette demande n’a jamais prospéré. La même demande cette fois-ci ci d’assistance, est adressée au ministère de l’administration du territoire, mais sans succès.
Comme on le dit souvent, le malheur ne vient jamais seul, l’entreprise SIMACO ENGINEERING se verra, ruiner par une banque privée auprès de la quelle, elle avait prêté de l’argent pour exécuter ses travaux. Après plusieurs années de lutte par voie de presse et en justice, Mr Yero Sidibe se trouve aujourd’hui dans une situation difficile à surmonter pour lui et sa famille.
Cet entrepreneur sollicite l’aide du président de la transition pour être rétabli dans ses droits. La société SATAREM approchée par notre journaliste n’a pas souhaité livrer sa version des faits.
Enquête AOB