Guinée-Depuis l’arrivée du  professeur Alpha Condé au pouvoir en 2010, les réformes ont été engagées dans le secteur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. Pour répondre efficacement le chômage des jeunes diplômés, plusieurs initiatives ont été prises comme l’organisation du concours d’entrée  aux institutions d’enseignement professionnels du pays.

Ce Lundi, le ministère de l’enseignement technique et de la formation professionnelle a procédé au lancement du coucours d’entrée  aux institutions d’enseignement professionnels, c’est  le secrétaire général Michel Koivogui, accompagnés  de l’inspetrice régionale  de la formation professionnelle, du directeur du service des examens et de plusieurs cadres du département. Cette année, ils sont plus de 17000 candidats, à passer le concours d’entrée aux institutions d’enseignement professionnels  pour 8000 places disponibles dans 30 centres institutions de formations  professionnelles du pays. Pour le concours de cette année, trois institutions professionnelles sont retenues comme centre:ENEPS( école nationale de l’éducation physique et du  sports), CEED Pita ( centre d’environnement et de recherche du développement), ENATEF(école nationale de l’environnement et de la forêt).

Pour faire respecter les mesures  sanitaires dû à  l’existence de la COVID19, le département a pris les dispositions nécessaires, le port des bavettes et le lavage systématique des mains des candidats. Pour Fatou Sylla, Inspectrice régionale de l’enseignement Technique et de la formationprofessionnelle, a parlé la particularité du concours d’entrée de cette année .‹‹ Nous avons 5630 candidats  au niveau de Conakry.Et 1130 Candidats inscrits  de l’ENAM››, a déclaré l’inspectrice régionale de l’Enseignement Technique et formations professionnelles,nous avons pris des dispositions par rapport au respect des sanitaires.Parce que tous les candidats ont porté des navettes et système de lavage  des mains est strictement respecté par tous››, a-t-il affirmé  Fatou Sylla, inspectrice régionale de l’Enseignement et  de Formation professionnelle.

Au non de la ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle,le secrétaire général du département a parlé l’engouement des jeunes diplômés envers des institutions professionnelles depuis quelques années, quand aux réformes  entreprises  dans le secteur par l’avènement du président Alpha Condé au pouvoir et sa vision de  donner une nouvelle impulsion à la formation professionnelle et technique de notre pays:‹‹ La particularité de cette année,c’est la ‹‹tolérance zéro››,c’est la ‹‹vigilance››,c’est le  ‹‹recrutement›› d’apprenants soucieux de venir dans nos institutions de se former et de servir l’État Guinéen.Sur le taux de participation du concours, le taux de participation du concours de cette année est très satisfaisant dans la mesure où nous sommes déjà  à 17000 candidats.Rien rien pour l’ENAM de Conakry, nous avons plus de 1200 candidats pour le centre de Matam seulement.Ça veut dire que les jeunes gens ont compris combien de fois qu’il faut s’orienter dans les Écoles professionnelles.Et surtout ce qui est plus impressionnant,c’est le fait que les hommes diplômes ;C’est à dire des licenciés soit l’enseignement Supérieur ou d’autres reviennent dans nos Centres pour se former››, a -t-il mentionné, Michel Koivogui le numéro 2 du  département.

Avant de renchérir :‹‹Sur plus de 1200 candidats pour l’ENAM et le centre de Conakry,nous avons au moins 500 candidats qui sont licenciés. Nous voulons des apprenants disposés et disponibles qui viennent dans l’intention de se préparer pas théoriquement seulement mais surtout pratiquement.Parce que l’enseignement technique est une question de main.Il faut se faire la main,il savoir man,il faut savoir aussi fabriquer.Donc,on peut pas se former en enseignement Technique si on vient avec des prétentions à ne pas toucher comme ce qui est outils de travail››,a-t-il conclu, le secrétaire général du ministère de l’Enseignement Technique,de la formation professionnelle et de l’Emploi.

Mohamed Camara

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