Longtemps, Kassory Fofana fut discrédité. ils ont mis sur son compte tous les crimes économiques de l’air CONTE. Tour à tour, il fut accusé de pires turpitudes. Les journaux comme l’ « Indépendant » et la « Lance » firent leur choux gras des épisodes peu glorieuses de l’homme KASSORY taxé de malfaiteurs publics.
C’était le temps où l’homme KASSORY officiait comme tout puissant ministre de l’économie des finances et cristallisait toutes les critiques.
Pourtant, il administrait à l’époque avec talent de grandes réformes économiques et financières qui préparaient le pays a un décalage économique promis.
C’était le temps aussi des grandes luttes contre la corruption qui mit hors d’état de nuire des cadres véreux, sommés de rembourser ou quitter la fonction publique, qu’il mena avec abnégation. Il en paya le prix le plus fort.
Sous d’autres cieux, l’homme qui mène de grandes réalisations est gratifié et honoré. Chez nous , il est mis au pilori.
Kassory dut se battre contre vents et marées pour laver son honneur. Les milices médiatiques à la solde des officines privées continuaient leur travail de sape. Partout où Kassory passe, on entendait en chœur : corruption, corruption, corruption . Alors qu’il n y a en réalité que calomnie et mensonge.
Il a fallu la venue au pouvoir du Comité National de Rassemblement et de Développement « CNRD » pour que le pays soit informé des vrais fossoyeurs de l’économie nationale. La réclamation des biens publics en est la parfaite illustration : Sidya et Dalein sont sommés de rendre les biens dont ils ont indument spolié l’État , arguant, le fait de s’être octroyé ces dits biens dans les règles de l’art .
Pour leurs défense -un terme apparaît : le bien privé de l’État. Ce terme renvoie à une vision anarchique du patrimoine public de l’État : Entendu comme l’ensemble des biens appartenant de l’État. Ceci est une lecture spécieuse et régressive de droit public de propriété.
La nouveauté avec la réclamation des biens publics organisée par le CNRD, les véritables voleurs des biens publics sont sommés de rendre des comptes et traduit devant les tribunaux. Nul tribunal médiatique.
Avec cette affaire , l’on découvre avec stupéfaction qu’une corruption d’un nouveau type a fait jour dans notre pays . Du vieux vol de caisse , elle muta à la privatisation du bien public de l’État.
Au-delà de ceux qui leur sont reprochés, c’est à cela qu’ils doivent rendre compte au peuple. Justice, justice, justice ! Quelle réhabilitation pour Kassory.
Les Réformateurs!!!!