Plongé dans un silence moniacal suite à la libération du coordinateur du Front National pour la Défense de la Constitution FNDC et Compagnie. Le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Alphonse Charles Wright a organisé ce mercredi 17 mai un point de presse dans son département sis à Kaloum.

Indexé par certains observateurs comme celui aurait gardé injustement, les principaux responsables du FNDC en prison depuis plusieurs, le Charles Wright a balayé d’un revers de main ces accusations à son encontre.

’’Mais, comme tous les membres du gouvernement ont décidé d’être derrière le Chef de la Transition, Colonel Mamadi Doumbouya, pour le bon déroulement du dialogue, le Président de la Transition a décidé de faire bon office, un souci d’apaisement, en acceptant d’autoriser la libération de Foniké Menguè et compagnie. Donc, aujoutd’hui, on parle de ça, de l’harcellement judiciaire.’’, a-t-il fait savoir, le ministre de la Justice.

 

Avant d’ajouter : ’’Sinon, personne ne peut passer là-bas aujourd’hui. Pourtant on dit que cette marche est pacifique mais, personne ne peut passer là-bas quand il y a les manifestations. J’ai vu le corps de Thierno, j’ai fais une semaine sans dormir. Les Foniké Manguê ont été interpell5é, pour avoir organisé des manifestations non autorisées. Ils ont été reprochés de beaucoup de choses, à savoir incendie volontaire. Ils ont été placés sous mandat de dépôt. Le juge d’instruction a estimé, qu’il y a eu l’incendie. Mais, le procureur quant à lui, certes, il ont participé à cet incendie. Ils sont venus à la Cour d’Appel, la chambre rend sa décision, le parquet dit qu’il n’est pas d’accord….mais on dit que ce sont des détenus de Charles Wright. C’est lui qui ne veut pas que Foniké Manguê et compagnie soient libre.’’, a-t-il déclaré

 

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